Een zolder, met meer dan het hoofd kan bevatten, de ogen vast kunnen houden, en dat wat ik anders niet zal zeggen.
Posted in Verhaaltjes on Jun 17th, 2015
Ik dacht aan de vluchtelingen onder lappen plastic in noodweer aan de Franse grens. Ze mogen het land niet in. En ik dacht: de grenzen moeten open overal. Zelfs al willen een heleboel mensen dat niet. Het kan niet anders. Het gaat om mensen uit landen in oorlog, onder bezetting. Vluchtelingen. Vluchtelingen vang je […]
Posted in Verhaaltjes on May 1st, 2015
Ze zaten achter in de boekwinkel aan tafel. Een beetje ouder geworden, net als ik. Ze herkenden me. Ik stak een hand op en groette: bonjour, bon appétit? Ou déjà fini? On a fini, groette zij terug. Vous voulez un café? voegde hij toe. Ik bedankte en zei dat ik nog moest lunchen, haast […]
Posted in Verhaaltjes on Mar 27th, 2015
Je mag van me mee, zei ze, over de landkaart gebogen. Je mag mee, maar het wordt een lange rit. Veertien uur heen; veertien uur terug. Geen lolletje met dit weer. Ze sprak Nederlands tegen me. Zoals altijd als ze een beetje overdone deed. Ik verstond het wel, maar antwoordde tegenwoordig altijd in het Frans. […]
Je pensais aux réfugiés à notre frontière avec l’Italie, sous des bâches de plastique dans les intempéries. On leur interdit l’entrée sur le territoire Français. Et je pensais: il faut ouvrir les frontières partout. Même si de nombreuses personnes sont contre. On ne peut faire autrement. Il s’agit de personnes fuyant des pays en guerre, […]
Ils étaient assis à table au fond de la librairie. Ils avaient un peu vieillis, tout comme moi. Ils me reconnaissaient. Je levais ma main en les saluant: « bonjour, bon appétit, ou déjà fini? » « On a fini », répondait-elle. « Vous voulez un café? » Ajoutait-il.
Au bout de la rue il y a la mer Celle des étés ensoleillés Des vacances et des corps bronzés Celle du ciel bleu. Notre rue se trouve du bon côté De cette mer dans le Sud au soleil. Du côté de la liberté et la prospérité Bien que nous pensons souvent que non. Depuis […]
Le cheminement qui se trouve être ma vie est une quête non obsessionnelle mais sans discontinu du chaînon espéré ou hypothétique, entre l’atome et l’idée. Entre la matière et la conscience, l’inertie et le mouvement, la cause et l’effet comme résultante…
Sans foi ni croyance, et sans comprendre à l’époque le sens des paroles, j’apprenais en cours de français à l’âge de 16 ans, la Ballade des Pendus de François Villon par cœur. Ce fut comme l’écho d’une langue et d’une France pour moi encore obscure, lointaine.
La ruelle étroite donne sur une place. Aménagé avec goût. Plantes, arbres et pierres. Au cœur de la misère. Un gros olivier y jette généreusement son ombre. Autour de la place vaquent sans abris et paumés. Hommes désorientés. Parfois une femme. Des djeuns désoeuvrés, y voient comment sera l’avenir. Bien tôt.
Je ne résiste pas au plaisir de re-blogger le post trouvé sur FDCreation. Une histoire très sympathique d’une sculpture d’autant plus fondamentale qu’en attendant de trouver acquéreur un jour, je l’héberge dans mon salon…. Lire la suite : Escher Fish.