Leave a Reply
memo
Bedenk bij het lezen van dit blog dat in het algemeen elke gelijkenis of overeenkomst met personen of situaties van vroeger of nu, puur toeval is. Copyright op foto's, beelden et originele teksten: ©Martinke - Dailysnapshots 2011 - 2012 - 2013 -2014 - 2015Email abonnement
RSS
-
Recent Posts
Tags
altruisme armoede blijheid Boeken Bofkont crisis Dag De mens De tijd ecologie email filosofie Frankrijk Geluk geschiedenis gezondheid Grens herinneringen Historie Hond hoop internet Leven mensheid Nederland Ontreddering Ontwaken Oorlog Politiek Reizen Sinterklaas Stad tijd Tovenaarsleerling Tranen twitter uit de oude doos Veilig Verhaal verleden Vliegen Vluchtelingen vroeger Weten wwwCategories
Martinke_H's Flickr Pictures
Recent Posts: Daily Snapshots français
Guerre
Je pensais aux réfugiés à notre frontière avec l’Italie, sous des bâches de plastique dans les intempéries. On leur interdit l’entrée sur le territoire Français. Et je pensais: il faut ouvrir les frontières partout. Même si de nombreuses personnes sont contre. On ne peut faire autrement. Il s’agit de personnes fuyant des pays en guerre, […]
Sauvée
Ils étaient assis à table au fond de la librairie. Ils avaient un peu vieillis, tout comme moi. Ils me reconnaissaient. Je levais ma main en les saluant: « bonjour, bon appétit, ou déjà fini? » « On a fini », répondait-elle. « Vous voulez un café? » Ajoutait-il.
Du bon côté
Au bout de la rue il y a la mer Celle des étés ensoleillés Des vacances et des corps bronzés Celle du ciel bleu. Notre rue se trouve du bon côté De cette mer dans le Sud au soleil. Du côté de la liberté et la prospérité Bien que nous pensons souvent que non. Depuis […]
Être soi
Le cheminement qui se trouve être ma vie est une quête non obsessionnelle mais sans discontinu du chaînon espéré ou hypothétique, entre l’atome et l’idée. Entre la matière et la conscience, l’inertie et le mouvement, la cause et l’effet comme résultante…
François Villon – La ballade des pendus
Sans foi ni croyance, et sans comprendre à l’époque le sens des paroles, j’apprenais en cours de français à l’âge de 16 ans, la Ballade des Pendus de François Villon par cœur. Ce fut comme l’écho d’une langue et d’une France pour moi encore obscure, lointaine.
La grande misère
La ruelle étroite donne sur une place. Aménagé avec goût. Plantes, arbres et pierres. Au cœur de la misère. Un gros olivier y jette généreusement son ombre. Autour de la place vaquent sans abris et paumés. Hommes désorientés. Parfois une femme. Des djeuns désoeuvrés, y voient comment sera l’avenir. Bien tôt.
Yann’s Escher Fish
Je ne résiste pas au plaisir de re-blogger le post trouvé sur FDCreation. Une histoire très sympathique d’une sculpture d’autant plus fondamentale qu’en attendant de trouver acquéreur un jour, je l’héberge dans mon salon…. Lire la suite : Escher Fish.